Plusieurs pensent dans le monde Arabe par erreur que la conservation de la biodiversité n’est qu’un mouvement naïf pour protéger les papillons ou les tortues, etc.
Ils ne savent pas que la disparition de toute plante ou d’un animal est la preuve de la disqualification de cet environnement, et que l’érosion de la biodiversité n’est qu’une introduction pour des dommages qui toucheront l’homme maintenant ou plus tard, et qu’il faut que nous préservions la biodiversité pour avoir un environnement propre, sain et sûr.
C’est un environnement qui est important pour nous, pour notre santé et pour la santé de nos petits-enfants avant tout. Nous voyons ainsi qu’il est de notre devoir de demander certaines visions pour la recherche scientifique future:
-Les scientifiques de la biodiversité s’intéressent d’observer le transfert des plantes et des animaux qui se passe actuellement, des zones chaudes vers les zones froides, et tant que nous sommes entre les tropiques, nous sommes menacés de voir les lésions des régions tropiques présentes entre nous à chaque minute. Nous devons mettre en place un système de contrôle précis et connaitre davantage les animaux et les plantes présentes dans les régions chaudes et tropicales.
-Etudier les espèces locales des plantes et des animaux locales qui sont en voie de disparition, outre les plantes médicinales et aromatiques gazeuses, et tous les modèles environnementaux liés, en les documentant par l’empreinte génétique.
-L’émission d’une base d’informations sur les espèces locales et les espèces animales et végétales en voie de disparition, conformément à la liste rouge, à travers la modernisation de l’étude nationale de la biodiversité.
-La réhabilitation des écosystèmes dégradés par la création des réserves et des banques génétiques, et élever le niveau des réserves pour couvrir 15 pour cent de la superficie totale du pays.
-Il faut que la recherche scientifique vise à réduire les résidus résultant de l’industrie et de l’activité fossile, ainsi que la pollution des sources d’énergie, à travers l’utilisation d’énergie alternative comme le vent, l’énergie solaire et le biogaz.
Tant que nous parlons de la biodiversité, il faut que la recherche scientifique se concentre sur l’utilisation des biocarburants à partir d’espèces qui produisent des huiles.
– Nous devons étudier le rôle des plantes utilisées dans le reboisement urbain et la décoration des jardins et leur rôle dans l’absorption des polluants, de la poussière et des gaz présents dans l’atmosphère pour atténuer ces polluants.