Pour la première fois dans l’histoire des Etats-Unis, la question climatique vient en tête des préoccupations des américains, malgré les voix qui ne sont pas prêtes à une renonciation (volontairement ou suite à un mauvais calcul) et à reconnaître le problème climatique comme étant un problème mondial. Ainsi, le débat en cours s’approfondit de plus en plus, avec une petite différence par rapport aux adhérents au proverbe disant qu’il n’y a pas de problème climatique, ceux-ci sont devenus ridicules et nommés stupides! selon la classification du journal le « Washington Post » très répandu.

On ne peut pas aborder cette question d’une façon simple, comme la stupidité ici, entre dans les intérêts politiques et économiques, entre les adhérents aux combustibles fossiles d’une part et les défendeurs des énergies renouvelables d’autre part. Autrement dit, la non-reconnaissance du changement climatique signifie l’adhésion à la stupidité comme option défendue par les campagnes menées par les républicains, y compris le sénateur républicain Jim Inhofe qui a brandit une boule de neige l’hiver dernier pour contester le réchauffement climatique.

Et selon le « Washington Post », les observateurs du débat sur le climat dans les États-Unis réalisent que l’année 2015 a oscillé entre l’espoir et la déception. L’agence américaine de protection de l’environnement a mis sa touche finale sur les règlements historiques pour le gaz de dioxyde de carbone pour le président Barack Obama. Ils prévoient la réduction des émissions des gaz à effet de serre provenant des centrales électriques de l’Amérique. En effet, cette mesure a joué un rôle crucial dans le soutien des efforts internationaux dans le domaine du climat.

Le problème est que les normes émises par l’agence américaine de protection de l’environnement et selon le même journal, ont inspiré certains républicains à entrer dans une concurrence pour qu’ils se mettent dans l’embarras!

Mais il faut noter dans ce domaine, ce que le journal le « Washington Post » a cité aussi, en ce qui concerne l’appel pour que les candidats à la présidentielle et les électeurs américains prennent en considération les événements passés l’an dernier en posant la question suivante : «est ce qu’ils veulent profiter de l’évolution passée en 2015 dans le sujet du changement climatique ou préfèrent-ils plus de stupidité sur le même sujet ? »

Publisher: Lebanese Company for Information & Studies
Editeur : Société Libanaise d'Information et d’Etudes
Rédacteur en chef : Hassan Moukalled


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