Beaucoup considèrent que la «Journée internationale de la femme », est une occasion de fête et de joie, mais elle est en fait une condamnation, dans un monde caractérisé par l’inégalité, l’injustice et l’oppression, sinon, il n’était pas nécessaire d’une célébration incomplète et des valeurs humanitaires confisquées!
Personne ne devrait penser que l’Occident a traité équitablement les femmes par des lois modernes qui illustrent leur intégration avec l’homme, ainsi, un regard rapide sur la situation des femmes dans les sociétés industrielles avancées, montrent que les femmes ont accompli de grands succès et beaucoup de leurs droits ont été extraits.
Mais l’Occident ne doit pas emprisonner les femmes dans un stéréotype banal, en les rendant un outil de promotion dans sa culture basée sur la consommation, loin de toutes normes éthiques.
Il est vrai que Le levant continue à emprisonner la femme et l’assiéger à travers des héritages de la religion, de l’éducation et des réglementations communautaires injustes, au sein d’une masculinité malade et schizophrène entre la réalité et l’interdit. Cependant, l’occident a rendu la femme comme une marchandise, il a en outre utilisé son corps au milieu d’une culture qui a permis la prostitution.
De plus, les femmes sont toujours dans un niveau inférieur en termes des droits d’emploi, même dans les pays les plus civilisés, les nouveaux systèmes et la législation moderne n’ont pas pu les protéger. Elles supportent aussi le poids du changement climatique qui augmente l’inégalité entre les deux sexes, en raison des stéréotypes fondés sur le sexe.
Il suffit de noter que la plupart des petits agriculteurs dans les pays pauvres et en voie de développement qui produisent près de 70% de la principale source de nourriture sont des femmes.
Il existe de nombreux exemples scandaleux, parmi eux, qu’il existe des pays dans l’Ouest et l’Est, qui se basent sur le secteur du tourisme sexuel dans leurs systèmes économiques, ainsi que sur la prostitution masquée!
Le 8 Mars est une occasion douloureuse qui nous rappelle des paroles du poète palestinien Samih al-Qasim quand il a souligné dans l’approche entre l’oppresseur et l’opprimé que nous vivons dans le monde qui marche sur la tête!