Le Conseil national de la recherche scientifique au Liban (CNRS) a projeté le documentaire « Pour la mer libanaise » dans le cadre du projet « CANA » élaboré grâce à un don italien.
La cérémonie a eu lieu mardi, le 24 Mai 2016 dans le siège du CNRS à Jnah, en présence de Ghazi Zeaiter- ministre des Travaux publics et des Transports, Mohammad Machnouk- ministre de l’Environnement libanais, Massimo Maroti- l’ambassadeur d’Italie au Liban, Maurice Saade- représentant de la FAO au Liban, Georges Tohmé- le président du Conseil d’administration du CNRS-L, Mouin Hamzé- le secrétaire général du CNRS-L, une délégation de la fondation CIHEAM-IAM BARI présidée par son directeur adjoint Maurizio Raeli et le membre du comité de suivi du projet, Teodoro Miano, ainsi que des universitaires, des chercheurs et des activistes environnementaux.
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Nous rappelons que le bateau a été mis à la disposition du CNRS grâce à un don italien fait au gouvernement libanais, représenté par le Conseil du développement et de la reconstruction.
Transformé d’un bateau de pêche à un laboratoire scientifique flottant, « CANA » a étudié depuis plusieurs années les fonds marins le long des côtes libanaises, tout en surveillant la pollution côtière, les sources d’eau douce en mer et les transformations des écosystèmes côtiers.
En outre, ce laboratoire incarne une base de données sur le stock de poissons dans la mer libanaise.
Le ministre des Travaux publics et des Transports, Ghazi Zeaiter, a souligné que l’expansion urbaine qui a touché les propriétés marines publiques, constitue sans doute une catastrophe environnementale.
Pour sa part, le ministre de l’Environnement libanais, Mohammad Machnouk, a indiqué que les côtes libanaises sont soumises à la pression de vingt-trois embouchures des eaux usées.
