Un gouvernement qui n’agit que sous les effets de l’explosion des crises… et les mouvements de contestation, puis retourne à son profond sommeil lors d’une détente causée soit par une fatigue temporaire soit pour donner une chance.
Le conseil des ministres n’a pas réussi à discuter le projet du barrage de Janeh dans sa dernière session, malgré que c’est un projet qui s’est éclaté dès le premier jour de son lancement, puis a démarré pour s’arrêter après en fonction des considérations politiques, des intérêts personnels et la loi de l’échange des biens et des services, sans prendre en considération l’environnement ou l’économie dans l’évolution de ses étapes.
Le conseil des ministres n’a pas réussi à discuter le dossier des déchets dans sa dernière session, sachant que la bombe explosive et qui réside dans ce dossier sera cette fois-ci beaucoup plus grande et plus difficile de celle précédente, surtout après le dernier contrat «surprenant» de la décharge de la Costa Brava.
Le retard confirmé dans le traitement de ce dossier s’élargit jour après jour, les espaces dans lesquels sont entassés les déchets se rétrécissent jour après jour et le gouvernement ne trouve pas le temps pour la discussion ou le remède réel.
Le premier ministre annonce aux Libanais que dans leur pays, L’Etat est en faillite et il se plaint même de la situation comme s’il était un observateur étranger ou comme si cette annonce n’aboutit pas à une démission ou une action ou même à pleurer.
Des partis et des forces préoccupés par la situation des quote-parts et la possibilité de des diviser équitablement, tout en tenant compte de l’injustice chronique envers ceux qui n’ont pas encore participé dans l’autorité ou ceux qui ont été privés des gains.
Nous nous excusons enfin et nous approuvons en tant que site que nous n’avons pas poursuivi en détails ces dossiers au cours des semaines précédentes, en faveur du suivi des questions environnementales importantes, mais non pas chaudes, dans l’espoir de traiter ces dossiers à partir d’aujourd’hui.