Un rapport fédéral exhaustif sur le changement climatique, qui n’a pas encore été signalé, montre un tableau inquiétant de la montée en montée des températures qui affectent déjà la vie des Américains, a annoncé lundi le New York Times. Le document interinstitutions de 600 pages, impliquant des scientifiques de 13 agences gouvernementales, fait partie de l’évaluation nationale quadriennale obligatoire du climat. Le projet de rapport a été approuvé par l’Académie nationale des sciences; Tout ce dont il a besoin pour l’instant est que l’administration de Trump ferme sa sortie, et certains scientifiques craignent que la Maison-Blanche ne tente de modifier ou de supprimer les résultats.
Le New York Times a reçu un projet de rapport. Voici quelques découvertes:
Le rapport conclut que si la trajectoire actuelle de l’émission de combustibles fossiles se maintient, le monde devra accepter un réchauffement supplémentaire de 0,50 degrés Fahrenheit (0,30 degrés Celsius) au cours de ce siècle. Une petite différence dans les températures mondiales peut faire une grande différence dans le climat: la différence entre une augmentation de 1,5 degré Celsius et une augmentation de 2 degrés Celsius des températures moyennes mondiales, par exemple, pourrait signifier des ondes de chaleur plus durables, des pluies plus intenses et plus vite Désintégration des récifs coralliens.
Aux États-Unis, le rapport constate avec une confiance «très élevée» que le nombre et la sévérité des nuits fraîches ont diminué, tandis que la fréquence et la gravité des journées chaudes ont augmenté depuis les années 1960. Les ondes froides extrêmes, dit-on, sont moins fréquentes depuis les années 1980, alors que les ondes de chaleur extrêmes sont plus fréquentes. Avec un degré de confiance moyen, les auteurs ont lié la contribution du réchauffement causé par l’homme à la hausse des températures dans les États-Unis de l’Ouest et du Nord. Il n’a trouvé aucun lien direct dans le sud-est.
Le communiqué du rapport est venu lorsque le président Trump a installé une foule de deniers du changement climatique dans des rôles clés dans son administration, y compris l’Agence de protection de l’environnement. « L’administrateur de l’EPA, Scott Pruitt, qui rejette les sciences climatiques bien établies, a soulevé la possibilité d’organiser une« équipe rouge rouge équipe »critique de cette recherche», selon Nature. « Et il a l’aide de l’Institut Heartland, un groupe de réflexion à Chicago, Illinois, qui favorise le scepticisme au sujet du changement climatique ».
La Source: http://slate.me/2vggmtG