Un petit lieu de détente qui est presque le seul dans la forêt de béton nommée Beyrouth.
La ville était connue et avait une réputation pour son pin, ce dernier est devenu lié à son nom, et plusieurs citations ont porté sur lui, jusqu’à ce que les responsables de son maintien et de sa protection commencent à le dégrader tantôt, au nom de la civilisation et de la ville, et tantôt au nom de la religion et de la prière.
Le Bois des pins de Beyrouth s’est rétréci et a demeuré étroit et restreint, jusqu’à ce qu’il est devenu serré et encaissé entre de petites rues et des ruelles, en dépit de ceci, il est resté le poumon de la ville et un petit lieu de détente pour ses habitants, à travers l’air non pollué et la possibilité de marcher dans ce bois malgré l’ensemble des contrôles et des conditions imposées.
Soudain, quelqu’un a décidé, pendant une rencontre et dans l’une des nuits, de le transformer en un parc public, des garages et des bâtiments, meilleurs, plus beaux, plus civilisés et ayant plus de bénéfices.
Plusieurs restrictions ont eu lieu dans le but d’empêcher les gens d’entrer dans la forêt des Pins de Beyrouth, puis cette idée infernale de libérer des chiens dans Le Bois des pins pour que les promeneurs soient obligés de fuir, même si c’est nécessaire que des blessés tombent et que certains d’entre eux entrent dans les hôpitaux, et à travers une décision officielle, quiconque sera empêcher de traiter cette affaire, même si le président de l’Association de protection animale a déclaré qu’il ne pouvait pas traiter cette question.
Aujourd’hui, le plan est mis en œuvre et il y a une date officielle pour la fermeture, après que la clôture a été déjà accomplie de facto.
Un modèle d’un comportement officiel pour un pays dans lequel son gouvernement a annoncé depuis plus qu’un mois la stratégie environnementale. La condamnation ne suffit pas, ni la bouderie, cette affaire n’est pas une affaire de luxe mais une question de vie et un modèle de respect de l’homme.
