Une nouvelle île volcanique émergée au large du Japon a donné naissance à un véritable « laboratoire naturel » en devenir, site d’observation des espèces vivantes que les biologistes nippons veulent à tout prix préserver. C’est notamment à partir des déjections déposées par les oiseaux marins sur cette « île nue » que les scientifiques comptent étudier la genèse des écosystèmes. Née d’une forte activité volcanique, cette terre nouvelle a fait surface dans le Pacifique en novembre 2013 au milieu du petit archipel d’Ogasawara, à un millier de kilomètres au sud de Tokyo. Malgré son isolement, l’archipel est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2011 en raison de la richesse de ses milieux biologiques qui permettent de comprendre les mécanismes de l’évolution des habitats naturels. Les îles Ogasawara « sont un exemple remarquable des processus d’évolution en cours dans les écosystèmes des îles océaniques », souligne l’UNESCO sur son site. Alimentée régulièrement par du magma en fusion, la nouvelle venue n’a cessé de s’étendre pour absorber l’îlot voisin appelé Nishinoshima. Une nouvelle île volcanique émergée au large du Japon a donné naissance à un véritable « laboratoire naturel » en devenir, site d’observation des espèces vivantes que les biologistes nippons veulent à tout prix préserver. C’est notamment à partir des déjections déposées par les oiseaux marins sur cette « île nue » que les scientifiques comptent étudier la genèse des écosystèmes. Née d’une forte activité volcanique, cette terre nouvelle a fait surface dans le Pacifique en novembre 2013 au milieu du petit archipel d’Ogasawara, à un millier de kilomètres au sud de Tokyo. Malgré son isolement, l’archipel est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2011 en raison de la richesse de ses milieux biologiques qui permettent de comprendre les mécanismes de l’évolution des habitats naturels. Les îles Ogasawara « sont un exemple remarquable des processus d’évolution en cours dans les écosystèmes des îles océaniques », souligne l’UNESCO sur son site. Alimentée régulièrement par du magma en fusion, la nouvelle venue n’a cessé de s’étendre pour absorber l’îlot voisin appelé Nishinoshima.