Une nouvelle maturité en face du gouvernement plus tard ce mois-ci, en particulier celle la sous-traitance des déchets au Liban.
Une grande affaire touchant toute la patrie, remplie de toutes sortes de mystères, des difficultés, des odeurs, des offres, des quotas, et le plus grand absent étant la transparence et la clarté, la vision et les intérêts du citoyen… Et bien sûr l’environnement.
L’approche du gouvernement pour régler cette affaire est étrange, même si elle ressemble en fait à l’approche liée à tous les dossiers nationaux, économiques et sociaux, et qui ne peut être décrite que comme folie, abandonnement ou logique de la ferme.
Des jours nous séparent d’une importante maturité qui touche tout le pays, et aucun des responsables ne possède un plan minimal relatif au traitement ou comment sortir de cette situation vers une autre qui garantit la continuité du travail dans cet établissement.
Jusqu’à aujourd’hui, le gouvernement n’a même pas abordé la question la plus importante: où sont les décharges?
Qui fournit les décharges au Liban ? L’état, le chef ou l’entreprise?
Si l’Etat a démissionné de ses responsabilités, ou si il est impuissant, ou a décidé d’attribuer ces tâches à un chef, il dit explicitement que l’entreprise requise est celle du leader de la région, où se trouve la décharge, le chef du dépotoir peut être imposé, puis l’entreprise sera imposée, l’Etat devra alors accepter et assurer l’argent, après avoir accepter le cahier de charge fixé par l’entreprise, donc par le leader.
Est-ce qu’il y a un cahier de charge dans le monde qui ne détermine pas un site ou qui n’estime pas le coût, mais le laisse lié à la détermination de l’endroit ?
Le modèle de l’hygiène et des déchets est le modèle d’action de l’Etat, avec une différence qu’il existe aujourd’hui une propreté, alors qui sait comment elle sera gérée par les futurs dirigeants du pays?