La première étape vers un environnement propre est le nettoyage du Liban des traîtres. Malgré les énormes tas de déchets amoncelés dans toutes les rues, les ruelles et les villages du pays du Cèdre, un sentiment de propreté et une brise rafraîchissante ont accompagné la mort du criminel de la guerre classifié, du collaborateur d’Israël et du traître israélien du plus haut rang, nommé Antoine Lahad. Il est mort en France, imitateur de vendeur de Homs à Tel-Aviv, il est en effet interdit d’entrer officiellement en France, comme il est un criminel de guerre. Et dans l’affaire aboutissant à libérer l’héroïne Souha Béchara, la France s’est engagée dans ceci, puis elle a violé cette condition. Il a révélé ceci lors d’une rencontre avec lui un jour dans « l’aéroport Charles de Gaulle ». En effet, une altercation a eu lieu, la préoccupation française s’est limitée à recouvrir l’incident. En outre, nous ne pouvions pas obtenir un suivi judiciaire, le Liban officiel étant indifférent à ces « choses ». Tout le monde va mourir un jour et pas de jubilation dans la mort, mais le goût de la mort d’un traître est différent, parce que celui qui s’est tenu un jour sur le corps d’un martyr au cours d’une conférence de presse, et a empêché l’enterrement des martyrs dans leurs villages, la mort de celui qui a aussi torturé et déplacé des personnes, devrait être une leçon. Cette terre est plus pure que d’être un lieu de sépulture pour un traître et un criminel de guerre, qui a reçu son salaire du peuple libanais pendant une longue période. Au Liban, il y a beaucoup de problèmes, parmi ceux-ci, les questions de l’environnement et les déchets, d’autre part, il y a de nombreux déchets humains qui ont contribué aux différents problèmes vécus au Liban. Peut être que soulever certains et enterrer d’autres contribuera à trouver des solutions à ce pays pauvre.