A Paris aujourd’hui, la planète s’est réunie sous le couvert de l’environnement.
Et à Paris aussi, une horreur causée par le terrorisme qui l’a ciblée et peut être plus causée par ses impacts sur les libertés, la loi et la Constitution, donc sur le mode de vie.
Si l’absence de l’ennemi communiste et sa disparition il y a 25 ans a supprimé les arguments et les prétextes employés par les pays développés qui polluent pour justifier la pollution par la nécessité de faire face au danger universel, les raisons de la cupidité, du profit incontrôlé et de la violation des ressources jusqu’à leur destruction sont devenues une chose difficile à persister sans se heurter avec de nombreux composants, du pape de Rome qui a haussé la voix contre le capitalisme sauvage, allant jusqu’aux derniers composants des forces environnementales, des pacifistes et ceux qui revendiquent les droits de l’homme, des scientifiques et autres, ainsi que ceux que les puissances capitalistes les considéraient dans leurs rangs dans ses diverses batailles.
Des masques qui tombent aujourd’hui pour que les questions environnementales se chevauchent avec celles de l’économie. Il s’avère que l’idée de la pénurie de ressources est un fait établi et que l’humanité a atteint, à travers l’exploitation brutale, des points dangereux qui ont dépassé les lignes rouges, notamment en ce qui concerne la menace de vivre sur la planète et la disparition des espèces d’animaux et des plantes.
Et après tout ça, certaines grandes puissances poussent d’autres pays à refuser des évidences qu’elles n’osent pas elles-mêmes les refuser, mais ceci va bien sûr affecter les décisions et charge ces pays d’une responsabilité historique. A noter que ces pays sont plus faibles de supporter une telle responsabilité comme la position des pays arabes vis-à-vis de la diminution du niveau de la température de la Terre.
Quant à la France, elle a déclaré l’état d’urgence pour trois mois et aujourd’hui, son gouvernement a l’intention de modifier la Constitution pour maintenir cette situation, il a ainsi interdit les manifestations et les rassemblements, malgré qu’il a appelé au milieu des guerres dans notre pays à lever l’état d’urgence. Nous citons l’exemple de l’Egypte précisément et non pas un autre pays, pourtant les autres exemples peuvent être importants.
L’Egypte mène une guerre acharnée contre le terrorisme, alors que la France avait critiqué toute mesure menée par l’Autorité égyptienne en incluant ceci dans la catégorie de la suppression des libertés (en alertant de ce danger) comme si les normes de la justice dysfonctionnent au point d’annulation.
Une guerre ayant deux faces environnement et terrorisme, l’une longue et lente et l’autre rapide et brutale. Le commun dans la confrontation c’est que les décideurs eux-mêmes se comportent comme s’ils ont du temps et ils profitent du danger et du rythme pour réaliser des gains et améliorer l’équilibre des pouvoirs, alors que le grand perdant est l’homme et son droit à la vie, sa liberté et son mode de vie.
Pour suivre toutes les nouvelles concernant la COP21 minute par minute directement du site Bourget, visitez notre Blog: https://greenarea.com.lb/climatechange