Il est vrai que le premier ministre Tamam Salam a décrit son gouvernement avec les descriptions les plus flagrantes et les plus horribles, coupant la voie contre ceux qui le critiquent, mais la plus grande catastrophe c’est que le premier ministre avec d’autres fonctionnaires n’ont rien fait pour éviter le retour de la scène de l’accumulation des déchets dans les rues, les ruelles et les villages dans une courte période.
Comme si le mois de Juillet de chaque année est devenu un mois saisonnier pour la distribution des déchets entre les maisons. Le gouvernement n’a fait aucune étape réelle et sérieuse pour résoudre la crise des déchets, ou pour mettre en œuvre une proposition pour résoudre la crise ou prévenir sa récurrence, mais il a perdu du temps, en préparant pour une grande explosion.
Si l’énorme catastrophe jadis s’incarne dans le défaut de fournir les conditions de traitement des déchets avant l’enfouissement, est-ce que la solution proposée et qui est non-exécutable principalement, a-t-elle présenté une résolution à ce dilemme? Si l’espace prévu à travers cette solution peut traiter 500 tonnes de déchets au mieux, que faire pour la quantité qui reste et qui peut atteindre entre 2500 et 2900 tonnes. Ainsi comment cette quantité sera-elle enfouie ?
Quelle est la capacité estimée? La situation qui a duré vingt ans a pris fin pour toujours, mais qu’est-ce qui est nouveau? Y-a-t-il une vision ? Y-a-t-il un plan qui se base sur des erreurs passées, afin d’améliorer les nouvelles conditions?
Ce qui est arrivé à ce jour depuis le ramassage des déchets des rues est le fait d’assurer des lieux pour les jeter, que ce soit dans la décharge de Naameh ou dans « la Costa Brava », sans aucun horizon pour répéter la tragédie d’échapper à trouver des espaces et des usines de tri qui auraient changé la nature et la quantité des déchets mis en décharge à Naameh.
La Costa Brava est maintenant remplie au maximum, et le désastre est que les responsables se préparent à permettre de lever le niveau de stockage, de sept mètres à des niveaux beaucoup plus élevés. Bien sûr, tout cela se passe sans se soucier de la sécurité de l’aviation et la possibilité de post-traitement. Il est ironique que l’entrepreneur, continue à travailler malgré que l’appel d’offre ait été retiré il y a deux semaines, comme si rien ne se passe, mais il confirme également qu’il ne va pas perdre de temps car il retournera.
Le gouvernement s’étonne de tout, son président et certains ministres pleurant toujours sur « Chinook », doivent bien écouter et lire attentivement qu’ils n’ont pas fait aucune mesure pour atteindre la solution, toute solution, la bonne comme la mauvaise, mais ils ont juste acheté du temps, la crise retournera, que doit-on donc faire?
Il est honteux de parler du Conseil du développement et de la reconstruction et de son président particulièrement, sachant que la structure de sa prolongation illégale ne résume pas sa situation et sa responsabilité de tout ce dossier.
Votre excellence, monsieur le Premier ministre Tammam Salam.
Les ministres.
Les députés.
Vous qui prenez la décision effective en tant que politiciens et autres.
Ne soyez pas surpris demain, au moment de l’explosion de la crise, et ne dites pas que cela est dû à la théorie du complot et de la complicité, mais à votre échec dans la division des quotas entre vous.
Le niveau d’irresponsabilité ainsi que l’insolence dans le traitement des affaires publiques n’ont jamais atteint ce niveau dans le gouvernement d ‘«intérêt» national ainsi que dans ses conseils.
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