Dans son récent discours, Sayyed Hassan Nasrallah a parlé de la pollution du fleuve Litani et son état catastrophique, et a exigé un traitement immédiat de ce fichier.
Il a également exigé la tenue des comptes de tous les contrevenants et les propriétaires de Sanders.
Peut-être, c’est l’une des rares fois que Sayyed Nasrallah soulève des questions environnementales à ce niveau, en particulier à la lumière des priorités politiques et militaires de son parti, mais « Hezbollah » est présent à une grande partie, dans la région où la rivière Litani passe. Cette région souffre de problèmes environnementaux massifs, personne n’en a tenu compte plus tôt.
Certains des accusés pour les atteintes à l’environnement sont des partisans de la large alliance. Le ministre de l’Environnement Mohammad Mashnouq n’a pas prêté attention à cette partie du discours, en dépit de son importance environnementale, et il préfère se concentrer sur d’autres aspects du discours, principalement ceux liés à l’Arabie Saoudite.
Le problème avec cette approche est qu’elle reflète en réalité la manière des fonctionnaires qui traitent les questions du pays, même s’ils les traitent simplement en théorie. Le ministre de l’Environnement est responsable, avec d’autres au sein du gouvernement, pour la misérable réalité que le fichier des déchets a atteint aujourd’hui, sachant que deux ans est suffisamment pour supporter le poids de ce qui est arrivé.
Le ministre de l’Environnement lui-même, est responsable, avec d’autres au sein du gouvernement, sur le fichier du barrage Janneh, et tout ce qui touche à elle. Le ministre de l’Environnement, et d’autres ministres du gouvernement, sont responsables d’ignorer ce qui se passe dans le fleuve Litani et du lac Qaraon. Ils sont responsables de l’approche de ce fichier à partir de l’aspect financier seulement.
Le gouvernement, dont le Premier ministre admet chaque jour et nuit, qu’il est un échec, est responsable du niveau catastrophique de la situation de l’environnement au Liban qu’on a atteint. Le Cabinet se poursuit dans la même approche et le lancement de différents types de quotas dans tous les projets, et l’environnement a la plus grande part d’entre eux ces jours-ci. Un discours politique est en hausse, en raison de la sensibilisation ou la nécessité, et d’autre part, une action officielle gouvernementale diminue en raison de la sensibilisation et intérêts.