Pourquoi cette insistance des forces politiques à brûler du temps et des opportunités ensemble, au moment où les crises sont très graves et nécessitent des solutions rapides?

Les différentes forces voient que le gouvernement est un gouvernement d’élections, et un politicien qui représente une partie «active» dit que le gouvernement ne pourra pas travailler plus de deux mois parce que le pays va entrer dans le calendrier électoral de Février prochain, ce qui représente l’opinion de la plupart des autres acteurs surprenants la gestion des fichiers, et donne une chance pour le changement dans le modèle administratif, économique ou sociale.

Deux cents jours et un peu plus est l’âge par défaut de ce gouvernement si ce mois-ci il sera formé dans un pays où les gens et les gouvernements sont donnés des périodes estimés cent jours, ce qui est de la même période au cours de laquelle les fonctionnaires font des mesures de réforme directes de mises en œuvre pour infecter directement les objectifs d’une part, et d’ouvrir la voie à plus profond dans l’étape la plus éloignée sur les autres mouvements d’autre part.

Ensuite, il est un temps nécessaire dans la mesures de réforme, bien que le temps est celui des élections, parce que chacun fait son travail et pas en conflit entre les deux, par conséquent, le premier gouvernement est devenu le premier gouvernement bien qu’il soit dérivé d’un ancien parlement prolongé, et qui dit que les résultats des prochaines élections apporteront un meilleur que cette combinaison surtout si la loi reste la même?

En attendant la sortie de la fumée blanche de la formation prévue, il existe des sites de la force économique ou financière qui ne doivent pas être consommés ou même produits pour identifier la possibilité de bénéficier d’entre eux, et la première est la réalité de la situation de la monnaie dans le pays et les conséquences de la récente ingénierie financière menée par la Banque centrale du Liban,  qui accompagne indépendamment le lobby qui comprend un groupe de banques pouvant osé par première fois d’attaquer le gouverneur et accusé parfois de partialité ou d’utiliser des médias »dans la ceinture » pour protéger le livre libanais, avec une silencieuse campagne d’un « screamer » dans d’autres au sujet de la nécessité d’un changement dans le site de gouvernance.

Les forces produites par la récente ingénierie devraient être utilisés et construites à partir de projets en cours monétaire d’un quart de siècle, le projet économique clair et complet basé sur le volume de financement disponibles réalisées grâce au projet monétaire, elle est la seule façon dont nous pouvons effacer les dépenses antérieures et justifier pratiquement leurs choix et les met dans le contexte et le développement économique qui montre son utilité par rapport au coût.

Cela nécessite d’abord, de ne pas porter cette ingénierie, soit par le retard et soit par l’application, et ne pas permettre de créer une atmosphère brumeuse dans la relation entre le gouvernement et la Banque du Liban, dans son gouvernement actuel en particulier avec la confusion soulevée -et par les candidats contrarié ou affecté parce que la situation ne dure pas plus de scandales. Étant donné que le Liban est désormais au centre du plus grand volcan dans la région, depuis près d’un siècle il a connu une relative stabilité qui est sans précédent.

Les énormes combats, y compris les uns qui peuvent être expliquer et les autres qui sont souscrit dans le jeu politique, mais les risques, monétaires, économiques et financières sont grandes et les récents développements positifs présidentielles peuvent les éliminer rapidement, et ce qui n’est pas nécessaire ou souhaitable, mais ce qui est nécessaire pour suivre les effets de l’élection du Président de la République jusqu’à ce que le changement d’atmosphère morale d’engager des actions concrètes se transforme effectivement en une piste pratique et productive.

Comme le risque de gouvernement ou de restreindre le gouvernement la tâche de retard des élections, ainsi que la poursuite de la zone floue dans le plan monétaire, les questions sensibles et graves qui menacent le contexte de l’attente et la chance de mettre le Liban sur la voie de la réforme, et mettre en œuvre le lieu efficace pour construire un Etat que le peuple libanais attendait depuis longtemps pour être construit.

Publisher: Lebanese Company for Information & Studies
Editeur : Société Libanaise d'Information et d’Etudes
Rédacteur en chef : Hassan Moukalled


Consultants :
LIBAN : Dr. Zaynab Moukalled Noureddine, Dr Naji Kodeih
SYRIE : Joseph el Helou, Asaad el kheir, Mazen el Makdesi
EGYPTE : Ahmad Al Droubi
Directeur Éditorial : Bassam Al-Kantar

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